Les prix de l'immobilier ancien dans la région Ile-de-France sont beaucoup plus élevés qu’en province du fait de la proximité avec Paris. La hausse des prix de l'immobilier en Ile-de-France varie selon le dynamisme du marché. Du fait de la hausse conséquente des prix dans la capitale, les acquéreurs aux budgets limités sont forcés d’orienter leur recherche immobilière vers l’Ile-de-France. On distingue deux zones franciliennes : la Petite Couronne et la Grande Couronne. La Petite Couronne compte les trois départements limitrophes de la capitale : les Hauts-de-Seine (92), la Seine-Saint-Denis (93) et le Val-de-Marne (94). La Grande Couronne est constituée de quatre départements : la Seine-et-Marne (77), les Yvelines (78), l’Essonne (91) et le Val-d’Oise (95).
Les prix de l’immobilier sont en hausse en région parisienne, mais les notaires avertissent qu’il est trop tôt pour parler d’un processus inflationniste durable.
Quand on compare les prix immobiliers dans les différentes villes du territoire français, on constate une grande variation des prix pratiqués. Ainsi l’on constate une tendance baissière en province et une tendance haussière à Paris. En ce qui concerne l’Ile-de-France, les prix varient aussi d’un département à l’autre, et même dans Paris intra muros, les prix varient considérablement d’un arrondissement à un autre
La hausse des prix immobilier impacterait les entreprises. Ainsi, depuis les années 90 on a assisté à une augmentation importante des prix de l’immobilier, que ce soit à l’achat qu’à la location. Selon BFMTV, les ménages en sont bien entendu les premiers à pâtir de cette inflation puis viennent ensuite les entreprises qui ont été pénalisées par la baisse d’octrois de prêt accordés jusqu’à il y a quelques temps en priorité aux prêts à l’habitat.
Une situation paradoxale à Paris et en région Ile-de-France avec une baisse du volume des ventes et une hausse des prix qui continue son ascension. Des prix au m² avoisinant les 8 380€ en moyenne à Paris en avril dernier, autant dire inabordable pour une grande majorité de Parisien de et francilien, surtout pour les primo accédants.
Alors que l’on constate une baisse des prix dans l’hexagone, Paris et sa petite couronne ne suivent pas la tendance. En effet, après une relative stagnation des prix à Paris et en banlieue, la tendance est repartie à la hausse depuis le mois de février. Une hausse des prix et un volume de transaction en baisse, tels sont les caractéristiques du marché immobilier parisien actuel.
La chambre des notaires d’Ile-de-France a présenté les chiffres de l’immobilier pour le 4e trimestre 2011. L'année a été marquée par une hausse des prix de l'immobilier...