Le logement écologique intègre progressivement les moeurs
Le 15 mai 2012 - Habitat écologique
Opter pour un logement écolo, peu énergivore devient un choix naturel pour bon nombre de Français. Le respect de l'environnement à travers l'habitat ''vert'' est effectivement de plus en plus plébiscité.
Adhésion de plus en plus de Français à l'habitat ''vert''
Selon un sondage récemment réalisé par PAP, un groupe spécialisé dans les transactions immobilières entre particuliers, 45 % des Français prennent en compte la notion de la ''valeur verte'' associée à l'habitat. Une grande majorité des gens souhaitent en effet habiter un logement peu énergivore, notamment par respect de la nature, plutôt que pour des questions financières. On peut alors avancer que le concept de l'écologie en immobilier est bel et bien entré dans les us et coutumes contemporains. Cette frange écolo de la population met en avant l'écologie pour les logements dans le souci surtout de servir le développement durable. 23 % des sondés optent par contre pour la construction de maison écologique, notamment pour alléger les dépenses en énergie. On constate aussi qu'une prise de conscience écologique globale est loin d'être une réalité et l'intérêt de recourir sans tarder à l'habitat '' vert'' encore mal compris. Il reste effectivement du chemin à faire lorsque l'on apprend que 17 % des interrogés affichent de l'indifférence à l'égard de la nécessité d'adapter un logement écologique.
Prise en compte de l'affichage DPE dans les annonces immobilières
Le concept écologique en termes de logement est petit à petit adopté par les Français. Lors d'un achat de bien immobilier, d'une location ou d'un contrat avec un constructeur de maison, la performance énergétique du bâtiment est fréquemment abordée par l'acquéreur ou le locataire. Depuis son application le 1er janvier 2011, le DPE ou le diagnostic de performance énergétique est réellement pris en compte. Le DPE doit être mentionné dans toutes les annonces de vente ou de location immobilière. Désormais 57 % des Français sont en mesure de fournir des renseignements sur leur étiquette énergétique, si on la leur demande. 44 % des interrogés estiment qu'un logement de basse consommation constitue un avantage supplémentaire pour un bien immobilier, dont ils ont l'intention d'acheter ou louer. 37 % par contre portent en premier leur choix sur un logement écologique, la ''valeur verte'' constitue ainsi un critère de sélection à part entière et de première importance.
Rénovation du système d'isolation pour un logement peu énergivore
Opter pour un logement basse consommation constitue désormais le souhait d'une large majorité des consommateurs français. Pour minimiser la consommation en énergie, 27 % des sondés avouent avoir entrepris des travaux de rénovation comme installer une meilleure isolation ou un système de chauffage efficace. Isoler la maison pour baisser la consommation en chauffage l'hiver constitue une urgence pour 61 % des interrogés. Pour 40 % par contre, il ne sert à rien de rendre un logement peu énergivore à cause de la cherté des travaux de rénovation (28 %) ou d'une indifférence ouvertement assumée vis-à-vis de la cause écologique (12 %). 46 % des sondés quant à eux considèrent que les avantages fiscaux réservés au développement durable sont loin de suffire.
Adhésion de plus en plus de Français à l'habitat ''vert''
Selon un sondage récemment réalisé par PAP, un groupe spécialisé dans les transactions immobilières entre particuliers, 45 % des Français prennent en compte la notion de la ''valeur verte'' associée à l'habitat. Une grande majorité des gens souhaitent en effet habiter un logement peu énergivore, notamment par respect de la nature, plutôt que pour des questions financières. On peut alors avancer que le concept de l'écologie en immobilier est bel et bien entré dans les us et coutumes contemporains. Cette frange écolo de la population met en avant l'écologie pour les logements dans le souci surtout de servir le développement durable. 23 % des sondés optent par contre pour la construction de maison écologique, notamment pour alléger les dépenses en énergie. On constate aussi qu'une prise de conscience écologique globale est loin d'être une réalité et l'intérêt de recourir sans tarder à l'habitat '' vert'' encore mal compris. Il reste effectivement du chemin à faire lorsque l'on apprend que 17 % des interrogés affichent de l'indifférence à l'égard de la nécessité d'adapter un logement écologique.
Prise en compte de l'affichage DPE dans les annonces immobilières
Le concept écologique en termes de logement est petit à petit adopté par les Français. Lors d'un achat de bien immobilier, d'une location ou d'un contrat avec un constructeur de maison, la performance énergétique du bâtiment est fréquemment abordée par l'acquéreur ou le locataire. Depuis son application le 1er janvier 2011, le DPE ou le diagnostic de performance énergétique est réellement pris en compte. Le DPE doit être mentionné dans toutes les annonces de vente ou de location immobilière. Désormais 57 % des Français sont en mesure de fournir des renseignements sur leur étiquette énergétique, si on la leur demande. 44 % des interrogés estiment qu'un logement de basse consommation constitue un avantage supplémentaire pour un bien immobilier, dont ils ont l'intention d'acheter ou louer. 37 % par contre portent en premier leur choix sur un logement écologique, la ''valeur verte'' constitue ainsi un critère de sélection à part entière et de première importance.
Rénovation du système d'isolation pour un logement peu énergivore
Opter pour un logement basse consommation constitue désormais le souhait d'une large majorité des consommateurs français. Pour minimiser la consommation en énergie, 27 % des sondés avouent avoir entrepris des travaux de rénovation comme installer une meilleure isolation ou un système de chauffage efficace. Isoler la maison pour baisser la consommation en chauffage l'hiver constitue une urgence pour 61 % des interrogés. Pour 40 % par contre, il ne sert à rien de rendre un logement peu énergivore à cause de la cherté des travaux de rénovation (28 %) ou d'une indifférence ouvertement assumée vis-à-vis de la cause écologique (12 %). 46 % des sondés quant à eux considèrent que les avantages fiscaux réservés au développement durable sont loin de suffire.
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